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Etude publiée en juin 2012 par Paris, Office du Tourisme et des Congrès et parisinfo.com via @Lilmont
Texte a compulser, parcourir, digérer, débattre, … bref : intéressant !
« Loin de s’endormir sur ses lauriers, le monde de la culture à Paris évolue et a su capter l’intérêt du public en s’adaptant progressivement au tourisme culturel de masse. Cela s’est entre autre traduit par l’usage du marketing et de la publicité pour promouvoir certaines manifestations artistiques. Ce format d’exposition, qu’on appel parfois « blockbuster » a plusieurs fois créé la polémique en opposant la rentabilité au discours scientifique de ces manifestations culturelles. Nous ne pouvons juger de la pertinence de cette opposition, mais nous sommes à même de constater que ces grandes expositions ont émergé avec le tourisme de masse. Déjà en 1980 l’exposition Dali au Centre Pompidou battait un record de fréquentation avec plus d’un million de visiteurs. Un record depuis inégalé à Paris. Le Centre Pompidou toujours, a cependant battu son propre record de fréquentation en 2011 (3,6 millions d’entrées) sans expositions dite « blockbuster » alors qu’avec moins de visiteurs en 2009 (3,5 millions d’entrée) les expositions Kandinsky et Pierre Soulages comptaient parmi les expositions les plus courues de la capitale. S’il est pourtant évident que les expositions temporaires jouent un rôle clé dans la fréquentation générale des musées, leur rôle réel est peut-être à nuancer. Il faut en effet des expositions « blockbuster » à succès pour permettre financièrement à une même institution d’organiser des manifestations plus confidentielles par la suite. «