Les «likes» n’ont pas l’impact que l’on croit… | L’Atelier: Disruptive innovation.
“Rory Cellan-Jones, journaliste pour BBC News, spécialisé notamment dans les nouvelles technologies a tenté une expérience pour le moins originale. Il créé le 4 juillet sur facebook la page fan de VirtualBagel une société fictive de gâteaux et payer pour des publicités afin d’attirer des fans. Très rapidement sa société artificielle atteint un nombre de 3 000 likes c’est pourquoi il s’intéresse à la valeur de ces likes tant prisés par les marques et à l’utilité des publicités sur Facebook.”
Si les questions (rapides) que soulève l’article est intéressant, il est dommage qu’elles ne soient pas analysées ni que l’article d’origine soit accessible du reste … Si vous souhaitez le lire, cliquez ici. Du reste, voici la conclusion de l’article de Rory Cellan-Jones :
“Since I stopped advertising and started adding real content, I’ve only added about 300 “likes”, but the level of engagement has soared, with vibrant discussions about the value of Facebook ads, and many more people listed as actually visiting the page.
Which chimes with what some other small businesses have told me – that Facebook can be a powerful way of having a conversation with your customers, but you don’t necessarily need to pay for that.”Our free marketing tools can be really powerful,” a Facebook executive told me last week. I’m sure that is true – but it may not be the best message for a business that needs to convince investors that more and more companies want to pay for its advertisements.”